Nous l?avons échappé belle. Cette fois. Le 1er décembre dernier, après de longues heures de débat à l?Assemblée, la proposition de loi qui vise à étendre le délit d'entrave à l'interruption volontaire de grossesse au numérique a été adoptée. Ce délit est désormais sanctionné par une peine pouvant aller jusqu?à 2 ans de prison et 30 000 euros d?amende. Il était temps. Pourtant, depuis, le droit à l'avortement semble, pour certains, redevenir un sujet, "arguments" à l'appui. Avec Rebecca Amsellem, des Glorieuses, déconstruisons-les.